Pierre constate avec nostalgie: « Si la cuisine de nos grands-mères était si bonne, c’est parce qu’elles prenaient le temps de bien faire les choses et surtout de laisser mijoter longtemps. » Et l’eau lui vient à la bouche quand il repense au poulet ou au lapin fermiers que Alphonsine faisait dorer dans sa cocotte. A Sondersdorf où […]